3 cafés parfaits pour l'automne

L’automne est enfin là, et avec le froid l’envie de se réconforter avec une tasse d’une boisson bien chaude se fait de plus en plus présente. Cafés Miguel vous propose aujourd’hui de découvrir trois fabuleux cafés qui ne manqueront pas de faire effet dans vos tasses alors que le froid se fait sentir.

Au programme, gourmandises, épices et sucre pour un automne chaud et réconfortant. Suivez le guide !

Riche et épicé, l’arabica Serrano

Envie d’un café avec du caractère ?

S’il y a bien un café qu’on peut qualifié de généreux dans ses arômes, c’est bien l’arabica cubain Serrano. Avec ses notes de tabac et de poivre, en bouche il n’est pas sans rappeler un goût de noisette. Également légèrement boisé et surout très peu acide, il s’agit d’un café lavé, dont les cerises sont cueillies entre juillet et février.

>> Découvrez le café de Cuba Serrano

Les montagnes cubaines dans la partie est du pays sont des terres extrêmement favorables à la culture du café. Différents arabica sont d’ailleurs cultivés dans le pays, du fait du savoir des migrants : le bournon, le caturra, le catuaï ou emcore le typica.

Miel, bois et citron avec le café Baoshan

Le café de Chine Baoshan est un café aux arômes de miel, légèrement citronné et boisé. Gourmand mais léger, il plaira aux becs sucrés en cette saison de plus en plus froide et pluvieuse.

S’il n’a que peu de longueur en bouche, il possède cependant une légère acidité.

Les caféiers à l’origine de ce délicieux breuvage poussent dans le district de Simao, dans la province du Yunnan. Le sol y est fertile, abreuvé par des pluies abondantes. Cultivées à plus de 1 200 mètres d’altitude, les cerises sont ensuite récoltées à la main entre Novembre et Mars chaque année.

L’histoire du café en Chine est assez récente, puisque c’est vers 1920 que les premiers plants de Robusta sont amenés et cultivés. Pour l’Arabica, c’est encore plus nouveau puisqu’il n’arrive en Chine qu’au début des années 50. Doucement et sûrement, la culture du café s’installe en Chine après la révolution industrielle, dans les années 80.

En Chine, là où on trouve le plus souvent de vastes étendues, ce sont uniquement de petites exploitations qui sont en charge de la culture du café. Les plus grandes ne dépassent pas les 200 hectares. Ces exploitations sont soumis aux intempéries, et en particulier à la pluie au minimum 280 jours par an. La température restant toujours autour des 20 degrés, le climat est idéal et parfaitement propice à la culture du café ainsi que du thé. D’ailleurs dans cette région les plantations de café ne sont qu’à quelques pas de celles de thé, ce qui peut donner aux grains ce goût délicat si particulier.

Gourmandise et réconfort avec le Moka Harrar

Le café d'Éthiopie Moka Harrar est un café qui nous vient tout droit d'Éthiopie, le berceau de la caféiculture et le 5ème plus grand producteur à l’échelle mondiale.

Les notes fleuries et légèrement boisées du Moka Harra d’Éthiopie sont réconfortantes, idéales pour l’arrivée du froid. Long en bouche et plein de gourmandise, il réconforte à l’arrivée de la froide saison. Il est donc parfait pour une entrée dans l’automne.

Le Moka Harrar de Cafés Miguel est cultivé dans la partie est du pays, à quelques centaines de kilomètres à peine de Djibouti, dans la région de Mesela.

Tout comme le café Baoshan de Chine, il ne s’agit en aucun cas d’un café issu de grandes exploitations. Il s’agit de cultures modestes, tenues par des familles de générations en générations. La récolte s’effectue entre Juillet et Décembre, lorsque les cerises sont à pleine maturité. Il s’agit d’un café lavé.

Le saviez-vous ? La ville de Harrar et son café sont incrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO !

Avez-vous trouvé votre bonheur parmi ces trois cafés en grain parfaits pour l’automne ? Quelles sont vos préférences ! N’hésitez pas à nous en dire plus en commentaires, nous attendons vos retours avec impatience.